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Visez jusqu'à 45 % de dividende !

"Il est plus facile, moins cher et plus rentable de chercher et trouver du pétrole sur le parquet des bourses mondiales que dans le sol ! ".

Investissez dans les énergies fossiles et renouvelables, pour un portefeuille alliant stabilité et croissance exponentielle !

L'avenir de l'énergie est en pleine transformation, et vous avez l'opportunité unique de tirer parti des avantages des deux mondes.

Les énergies fossiles continuent de jouer un rôle majeur dans notre économie mondiale, offrant des revenus solides et une base d'investissement éprouvée.

Mais ne vous arrêtez pas là.

Les énergies renouvelables représentent l'avenir durable de notre planète. Les technologies propres connaissent une croissance explosive et offrent des rendements remarquables.

En investissant dans les énergies fossiles et renouvelables, vous diversifiez votre portefeuille tout en participant à la transition énergétique mondiale.

Saisissez cette occasion unique de faire des investissements responsables qui contribuent à un avenir plus vert, tout en maximisant vos rendements financiers.

Ensemble, les énergies fossiles et renouvelables créent un équilibre gagnant-gagnant, vous permettant de prospérer financièrement tout en préservant notre planète pour les générations futures.

Let the money come to you !

Sommaire

I-Introduction

En Europe, en raison de la crise énergétique actuelle, de nombreuses analyses financières recommandent d'investir dans le secteur de l'énergie, notamment dans les matières premières énergétiques.

Cependant, nous allons démontrer qu'il existe des opportunités d'investissement bien plus lucratives.

« Investir dans des sociétés qui donnent un rendement sur dividende très important ».

Ces entreprises, grâce à leurs performances, ont tendance à surpasser le marché et à protéger les actionnaires contre les baisses grâce à leurs dividendes généreux.

La déclaration suivante, qui souligne la nécessité de l'utilisation du pétrole et du gaz pour maintenir la civilisation, n'a pas été prononcée par un magnat de l'industrie pétrolière ni par un oligarque du gaz, mais par Elon Musk, un visionnaire de l'industrie automobile.

« We need to use oil and gas, because otherwise, civilization will crumble.
« Nous avons besoin du pétrole et du gaz, parce que sinon, notre civilisation va s’effondrer. «

En tant que fondateur et PDG de Tesla, il est renommé pour ses idées novatrices et sa vision audacieuse de la mobilité durable.

Elon Musk est souvent considéré comme un pragmatique en matière de transition énergétique.

Tout en soutenant vigoureusement l'électrification des transports et l'utilisation de sources d'énergie renouvelables, il reconnaît également que se passer totalement des énergies fossiles représente un défi complexe, difficile à réaliser à court terme.

Il ajoute :

« …so in order for civilization to continue to function, WE DO NEED OIL AND GAS. I think any reasonable person would conclude that. »
« ...alors pour que la civilisation continue de fonctionner, nous avons besoin du pétrole et du gaz. Je pense que toute personne raisonnable devrait en venir à cette conclusion. »

Les discussions autour des énergies fossiles sont souvent chargées d'émotion et de sensibilité.

Dans le contexte du changement climatique et de la transition énergétique, la question des énergies fossiles est devenue hautement politisée et suscite des débats passionnés.

Depuis le discours mémorable de Greta Thunberg aux Nations-Unies, les énergies fossiles sont souvent dépeintes comme le mal absolu.

Il est cependant important de noter que les énergies fossiles ont joué un rôle déterminant dans la croissance économique et technologique, améliorant ainsi la qualité de vie de nombreuses personnes et sortant des centaines de millions d'individus de la pauvreté.

La transition vers des sources d'énergie plus propres et renouvelables est un objectif louable et indispensable pour lutter contre les effets du changement climatique et préserver notre planète.

Toutefois, il est tout aussi essentiel de reconnaître que cette transition ne peut pas s'opérer du jour au lendemain et nécessite un processus progressif et réaliste.

L'énergie solaire, éolienne et d'autres sources d'énergie renouvelable ont connu des avancées significatives au fil des années, mais elles ne sont pas encore en mesure de remplacer intégralement les énergies fossiles en termes de production énergétique et d'infrastructure.

La transition énergétique comporte des défis complexes liés à la technologie, aux coûts, à l'infrastructure, au stockage de l'énergie et à la gestion des fluctuations de la demande.

Pour réussir cette transition, il est impératif de développer et d'investir dans les technologies d'énergie renouvelable, tout en explorant des solutions d'efficacité énergétique et de réduction des émissions dans tous les secteurs de l'économie.

De plus, il est crucial de mettre en place des politiques et des mesures incitatives favorisant l'adoption de pratiques durables et le choix d'énergies propres par les entreprises et les particuliers.

La recherche, l'innovation et la coopération internationale sont des éléments clés pour accélérer cette transition vers un avenir énergétique plus durable.

Bien que l'idéal soit de parvenir à un monde alimenté exclusivement par des énergies renouvelables, il est tout aussi important de faire preuve de réalisme et de pragmatisme face aux défis actuels.

La transition énergétique est un processus complexe qui requiert l'engagement de tous les acteurs, y compris les gouvernements, les entreprises et les individus, afin d'atteindre un avenir énergétique plus propre et plus durable, comme le reconnaissent Elon Musk et les experts.

Les énergies fossiles restent au cœur des débats médiatiques en raison de leur impact sur l'environnement et le changement climatique.

Cette attention médiatique peut influencer les décisions des investisseurs, les incitant à se détourner des entreprises liées aux énergies fossiles en raison de préoccupations environnementales et sociales.

Il est toutefois essentiel de reconnaître que les énergies fossiles jouent toujours un rôle vital dans l'économie mondiale et la vie quotidienne de millions de personnes. Le pétrole, le gaz et le charbon alimentent les transports, chauffent les foyers et fournissent de l'électricité à de nombreux pays.

Certains pays demeurent fortement dépendants du charbon pour leur production d'électricité, et bien que la transition vers des sources d'énergie plus propres soit souhaitable, elle ne peut pas s'opérer du jour au lendemain. Les défis liés à la transition énergétique sont complexes et exigent des solutions à long terme.

Les entreprises du secteur des énergies fossiles jouent un rôle majeur dans l'économie et offrent des rendements attrayants aux investisseurs, notamment sous forme de dividendes généreux pouvant atteindre 45 %.

Ces entreprises, malgré les débats sur l'impact environnemental de leurs activités, continuent de générer des revenus et des profits substantiels.

En fin de compte, le choix d'investir dans les énergies fossiles ou les énergies renouvelables dépend des préférences, des valeurs et des objectifs de chaque investisseur.

Certaines personnes peuvent se sentir plus en accord avec des entreprises adoptant des pratiques durables et contribuant à la transition énergétique, tandis que d'autres peuvent voir des opportunités dans les entreprises du secteur des énergies fossiles.

II-Analyse de 8 actions sous-évaluées pouvant offrir des dividendes allant jusqu'à 45% !

En raison de la crise énergétique actuelle en Europe, de nombreuses publications financières recommandent actuellement des investissements dans le secteur de l'énergie, notamment dans les matières premières énergétiques.

Cependant, il est important de noter qu'il existe des opportunités d'investissement plus lucratives que celles-ci.

Examinons attentivement la situation actuelle :

Bien que nous reconnaissions l'attrait potentiellement lucratif des investissements dans le domaine de l'énergie, il est essentiel de mettre en évidence le timing des investissements.

En effet, le secteur de l'énergie est caractérisé par une grande volatilité, et des investissements inopportuns dans les actions incorrectes peuvent entraîner des pertes considérables.

Prenons l'exemple du prix du pétrole. Malgré les récentes préoccupations médiatiques concernant les risques de pénuries de courant et de diesel en Europe, les prix du pétrole sont actuellement en baisse (mi-2023).

Dans ce contexte, l'achat d'actions pétrolières semble présenter un niveau de risque élevé.

Pourquoi assistons-nous à cette baisse des prix du pétrole, alors que l'anxiété générale est liée à la pénurie d'énergie ?

III-Notre hypothèse repose sur deux raisons fondamentales

Tout d'abord, la première raison est que la panique liée à la crise énergétique est circonscrite à l'Europe. Le manque d'énergie constaté ici n'est pas attribuable à des pénuries à l'échelle mondiale, mais plutôt à un problème d'approvisionnement d'énergie en direction de l'Europe. Cette crise énergétique européenne est, en réalité, une situation artificielle créée délibérément par les dirigeants européens qui ont imposé des sanctions aux principaux fournisseurs d'énergie. Par conséquent, le reste du monde ne craint pas une pénurie d'énergie, et les prix de l'énergie ne devraient pas connaître d'augmentation significative en dehors de l'Europe.

Deuxièmement, la baisse des prix de l'énergie dans le monde s'explique par le fait que les marchés sont déjà tournés vers l'avenir, en prévision de l'après-crise énergétique européenne. Oui, vers l'avenir. Comme nous allons le démontrer, tous les indicateurs convergent vers une période imminente de récession. Un de ces indicateurs fiables est la courbe des taux, qui compare le taux d'intérêt à 10 ans de la dette de l'État fédéral américain au taux à 3 mois, soit les taux à long terme (10 ans) par rapport aux taux à court terme (3 mois

Cette courbe est l’un des indicateurs les plus fiables pour constater d’une récession.


Historiquement, chaque fois que cette courbe est passée en territoire négatif, une récession a suivi dans les 2 ans qui ont suivi.

Cette situation se produit lorsque les taux à court terme dépassent les taux à long terme, ce que l'on appelle l'"inversion de la courbe des taux".

Cette inversion est ainsi nommée car normalement, les taux à long terme devraient être plus élevés que les taux à court terme.

En effet, lorsque vous prêtez sur le long terme, le risque est plus élevé que pour les prêts à court terme, ce qui justifie un taux d'intérêt plus élevé.

Historiquement, ce genre de situation survient lorsque la banque centrale américaine élève ses taux plus rapidement que les attentes du marché.

En conséquence, le marché prévoit une récession à venir.

Bien que cela puisse être considéré comme une mauvaise nouvelle pour l'économie, nous allons démontrer ultérieurement dans ce rapport spécial qu'une récession offre des opportunités d'investissement sans précédent.

IV-Vue d'ensemble des matières premières énergétiques

1-Pétrole :

Dans le graphique ci-dessous, la courbe en orange représente la différence entre les taux à long terme et les taux à court terme, comme mentionné précédemment.

Nous avons indiqué les barres rouges pour signaler le début de l'inversion de la courbe des taux par rapport au prix du pétrole. Il est notable qu'à chaque inversion, il y a une chute significative des cours du pétrole dans les mois qui suivent.

En 2001, bien que la chute puisse ne pas sembler considérable à première vue, elle représente néanmoins une baisse de 35%, passant de plus de 30 à 20.

En 2008, malgré une augmentation initiale des prix du pétrole après l'inversion, une forte chute a ensuite été enregistrée.

On pourrait argumenter que la situation actuelle est unique en raison de la crise en Ukraine, mais il est important de rappeler qu'en 2008, un récit similaire affirmait que nous avions atteint le pic pétrolier et que le pétrole deviendrait de plus en plus rare.

Malgré ce récit, le pétrole a connu un effondrement majeur en 2008 et a perdu considérablement de sa valeur.

Par conséquent, investir dans le pétrole aujourd'hui semble être un choix risqué, d'autant plus qu'il a déjà commencé à chuter.

2-Gaz naturel :

Le gaz naturel subit généralement une correction plus ou moins forte peu de temps après l'inversion de la courbe des taux.

Parfois, ces corrections sont suivies d'une reprise rapide, tandis que d'autres fois, il faut attendre un peu plus longtemps.

Le gaz corrige plus ou moins fort peu de temps après l’inversion de la courbe des taux.

Parfois ces rebonds sont suivis d’un rebond rapide, parfois, il faut attendre un peu plus de temps.

3-Uranium :

L'uranium a connu une forte baisse pendant la crise de 2008, et il n'a rebondi qu'en 2021.

Bien que nous ayons une perspective favorable à moyen terme sur l'uranium, nous ne proposons pas de sociétés extractrices d'uranium car nous n'en avons pas trouvé avec un niveau de risque et de dividendes satisfaisant.

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4-Et pour finir, la pire des énergies fossiles, le charbon :

Enfin, le charbon, souvent considéré comme la pire des énergies fossiles, est coté par zone.

En moyenne, les prix ont fortement chuté en 2009, puis à nouveau en 2015, à un moment où une récession semblait imminente, et enfin de nouveau en 2020.

Cependant, en examinant le graphique de l'ETF Global Energies Renouvelables, le principal fonds mondial composé de sociétés opérant dans les énergies renouvelables, nous remarquons une similitude frappante avec celui du pétrole.

Face à ces corrections marquées, l'idée pourrait être de se protéger en investissant dans les énergies renouvelables, un secteur en pleine croissance.

Il est à noter que la chute a été particulièrement sévère en 2009, dépassant celle des énergies fossiles.

De plus, il existe une corrélation significative entre les énergies renouvelables et les énergies fossiles, bien que les amplitudes de hausse et de baisse diffèrent.

Actuellement, nous sommes dans une phase de consolidation, qui dure depuis deux ans.

Il sera intéressant de voir si nous sortons de cette phase par le haut ou par le bas.

Nous anticipons probablement une sortie par le bas initialement en raison de la récession, mais un rebond pourrait être une opportunité d'investissement attrayante.

Ce schéma présente des similitudes frappantes avec celui du pétrole. On pourrait envisager que, face à ces importantes corrections, les énergies renouvelables pourraient servir de protection, étant donné qu'elles constituent un secteur en croissance soutenue.

Il est remarquable que la chute en 2009 ait été bien plus prononcée pour les énergies renouvelables que pour les énergies fossiles.

De plus, il existe une corrélation significative entre les énergies renouvelables et les énergies fossiles, avec les variations d'amplitude comme principale différence.

Nous traversons actuellement une période de stagnation, une sorte de phase de congestion qui dure depuis deux ans.

Il sera fascinant de voir si nous sortons de cette phase par le haut ou par le bas.

Notre perspective nous porte à penser que nous pourrions initialement sortir par le bas en raison de la récession, mais qu'un rebond potentiel pourrait être très attrayant à exploiter.

C'est pourquoi, malgré des dividendes moins élevés que ceux des sociétés liées aux énergies fossiles, nous souhaitons vous présenter une entreprise du secteur des énergies renouvelables particulièrement prometteuse.

V-Risque élevé à court terme

À l'heure actuelle, alors que la préoccupation générale tourne autour de la crise énergétique, nous assistons à une désynchronisation notable entre les prix du pétrole et les valeurs des actions des entreprises pétrolières.

Dans le graphique ci-dessous, le prix du pétrole est représenté en bleu, tandis que le cours de l'ETF composé d'entreprises énergétiques aux États-Unis est en orange :

Depuis juillet 2022, une divergence très marquée s'est manifestée, avec d'un côté une correction significative des prix du pétrole et de l'autre un fort rebond des cours des entreprises pétrolières. Il semble très probable qu'une de ces courbes finira par rejoindre l'autre.

Cependant, pour que la courbe orange continue de progresser, il faudrait que le prix du pétrole repasse au-dessus de ses niveaux les plus élevés.

Cette perspective semble peu probable, surtout à la lumière des indicateurs économiques en constante détérioration.

Le scénario qui nous paraît le plus probable est une chute des cours des entreprises énergétiques dans les mois à venir.

Ce constat renforce notre conviction selon laquelle ce n'est pas le moment idéal pour investir dans des sociétés du secteur de l'énergie, du moins pas dans n'importe lesquelles.

Face à cette situation, nous estimons qu'il existe un risque élevé de correction à court terme dans le secteur de l'énergie. Comme nous l'avons observé dans les graphiques précédents, les corrections ont tendance à toucher généralement toutes les sources d'énergie, et il ne semble donc pas y avoir de valeur refuge dans le domaine de l'énergie.

De plus, ces corrections sont généralement substantielles, avec parfois des baisses dépassant les 50%.

VI- Après la correction ?

Comme illustré dans le graphique, à la sortie d'une récession, il y a souvent un rebond significatif des valeurs énergétiques, notamment du pétrole. C'est ce rebond qui retient notre attention.

Avant d'envisager des investissements dans des entreprises énergétiques, il est judicieux d'examiner si certaines sources d'énergie, en particulier les énergies fossiles, ont toujours un avenir, y compris la possibilité d'un rebond.

Analyse de la consommation mondiale de pétrole et de charbon en 2017 :

Comme le montre le graphique, il est peu probable qu'un déplacement complet des énergies fossiles se produise dans un avenir proche.

De plus, le remplacement de l'énergie fossile par des énergies renouvelables nécessite une quantité considérable d'énergie, qui provient actuellement en grande partie des énergies fossiles.

Par conséquent, nous ne sommes pas particulièrement préoccupés par l'avenir des énergies fossiles à moyen terme.

Examinons la composition de la demande mondiale de pétrole et de charbon pour identifier les principaux consommateurs à l'échelle mondiale.

Consommation de pétrole par pays jusqu'en 2017 (source : département de l'énergie des États-Unis) :

Nous constatons que les pays développés, tels que l'Europe et les États-Unis, ont réduit leur consommation de pétrole depuis 2008.

Cependant, le reste du monde ne suit pas cette tendance, ce qui suggère que la volonté occidentale de lutter contre le changement climatique n'est pas universellement partagée.

La consommation de charbon présente un schéma similaire :

Après une légère baisse entre 2012 et 2020, la consommation de charbon a de nouveau augmenté pour atteindre des niveaux records en 2021 et 2022, principalement en raison de la croissance en Inde et en Chine, des pays moins sensibles aux préoccupations environnementales que les pays occidentaux.

En outre, en raison des difficultés d'approvisionnement en énergie en Europe, certaines centrales au charbon ont été réactivées pour répondre aux besoins pendant l'hiver.

Examinons les prix du gaz en Europe :

Bien que le graphique puisse donner l'impression que la situation se normalise, une analyse à plus long terme révèle que les prix du gaz restent élevés et continuent de suivre une tendance à la hausse.

De plus, la baisse récente des prix s'explique en partie par le fait que les gazoducs permettant d'importer du gaz depuis la Russie étaient encore opérationnels, ce qui a permis aux pays européens de maximiser leurs réserves de gaz.

Cependant, avec la cessation de Nord Stream suite à un sabotage, les flux entrants de gaz vont considérablement diminuer, alors que 40 % du gaz consommé en Europe provenait de Russie.

Le remplacement de ces flux pose un défi, car il n'existe actuellement aucune infrastructure capable de fournir un approvisionnement équivalent.

De plus, la récente baisse des prix du gaz s'explique en grande partie par le fait que lorsque les gazoducs permettant l'importation de gaz depuis la Russie étaient encore en service, les pays européens ont maximisé leur stockage de gaz.

Cependant, le problème réside maintenant dans le fait que les flux entrants de gaz vont considérablement diminuer, car les gazoducs russes ne sont plus opérationnels en raison du sabotage de Nord Stream.

Il est important de noter que 40 % du gaz consommé en Europe provenait de Russie. Ces flux russes devront donc être remplacés, mais il n'existe pas d'autres gazoducs capables de fournir un volume comparable à celui de la Russie.

Par conséquent, l'Europe devra se tourner vers le Gaz Naturel Liquéfié (GNL), qui nécessite des infrastructures majeures pour sa liquéfaction et sa regazéification.

L'Europe ne dispose pas encore de ces infrastructures nécessaires pour remplacer le gaz russe.

Cela signifie que la baisse actuelle des prix du gaz que nous observons est probablement temporaire.

Investir dans des entreprises susceptibles de bénéficier d'une augmentation des prix du gaz ou disposant des compétences et des moyens nécessaires pour importer du gaz semble donc être une option intéressante.

VII-Et vous, manquerez-vous l'opportunité de ces actions à très haut rendement, pouvant atteindre jusqu'à 45 % ?

Pour vous, avec nos experts, nous avons sélectionné 8 actions à fort dividende allant jusqu’à 45 %.

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Un rapport de plus de 20 pages, qui vous sera remis, explique les raisons judicieuses de ce choix.

Action n°1 T : 45% de dividende
L’activité de la société consiste à extraire le pétrole dans plusieurs concessions.
Son intérêt très particulier est qu’elle possède près de 1 milliard d’euros dans son bilan dont elle n’a pas besoin et elle n’est pas endettée.  
Pourquoi n’en a-t-elle pas besoin ? Parce que cette société ne fait qu’exploiter un gisement de pétrole, elle ne fait pas de recherche de nouveaux puits, ce qui nécessiterait d’importants investissements.

Action n°2 G
: 32% de dividende
Cette société est productrice de charbon. Le charbon c’est sale, c’est polluant, mais cela rapporte beaucoup !
Comme vous le savez, les énergies renouvelables ont besoin des énergies fossiles. Economiquement et socialement parlant, il est impossible de se passer du charbon, du pétrole...
Libre à chacun en fonction de ses convictions personnelles d’investir ou non dans ce type de société.
Cependant, comme personne ne veut mettre les mains dans le charbon, ce secteur offre des sociétés à des cours très décotés.

Action n°3 G : 40% de dividende)
Cette société pétrolière intervient dans le Kurdistan Irakien, zone géographique à fort risque géopolitique.
Comme les Américains réalisent régulièrement des opérations militaires dans le Kurdistan Irakien, il paraît qu’ils sécurisent la région de manière à ce que le pétrole puisse être exporté. 
Par ailleurs, la Turquie possède un oléoduc permettant l’exportation de cet or noir.
Par conséquent, la situation est tendue sur place, mais paraît aussi être dans une sorte de statu quo, car concrètement assez peu de choses changent. Ce statu quo est intéressant pour les investisseurs puisque nous avons besoin de stabilité pour investir. 
Par ailleurs, la société est très rentable.

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Comme toujours, nous recommandons d’investir CHF 500 pour les petits investisseurs et  
CHF 1’000 pour les grands investisseurs.
La situation financière de chaque investisseur est unique. Il peut donc être judicieux d’investir plus ou moins. Mais le montant ne doit jamais être supérieur à ce que vous pouvez vous permettre de perdre.
Comme nous allons détenir ces actions sans stop loss, nous encourageons tous les lecteurs à utiliser un dimensionnement rationnel de leur position.
N'oubliez pas de ne jamais faire un "all in" sur un seul investissement.
Notre mission est de construire un portefeuille de nos sociétés.
C'est ainsi que nous optimiserons notre réussite.

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